lunes, 8 de octubre de 2012
maman, maman, tu es partie si loin
que tous les boniments ne riment plus à rien
maman, maman, depuis que tu as laissé tomber
je n'ai plus aucun parent à qui parler
la faute à qui ? À personne
juste le temps qui passe, l'heure qui sonne
maman, maman, souvent je me rappelle de nos dîners charmants, rue de Seine
je te chantais mes nouvelles chansons et toi, tu me lisais ton dernier poème
cette complicité d'adolescent, où est-elle ?
à qui la faute ? J'en sais rien
ni coupable ni assassin
á qui la faute ? On n'y peut rien
mais la vie l'un sans l'autre
peau de chagrin
à la fois ici et tellement ailleurs
loin des yeux et si près du cœur
la faute à qui ? à personne
juste le temps qui passe et l'heure qui sonne...
que tous les boniments ne riment plus à rien
maman, maman, depuis que tu as laissé tomber
je n'ai plus aucun parent à qui parler
la faute à qui ? À personne
juste le temps qui passe, l'heure qui sonne
maman, maman, souvent je me rappelle de nos dîners charmants, rue de Seine
je te chantais mes nouvelles chansons et toi, tu me lisais ton dernier poème
cette complicité d'adolescent, où est-elle ?
à qui la faute ? J'en sais rien
ni coupable ni assassin
á qui la faute ? On n'y peut rien
mais la vie l'un sans l'autre
peau de chagrin
à la fois ici et tellement ailleurs
loin des yeux et si près du cœur
la faute à qui ? à personne
juste le temps qui passe et l'heure qui sonne...
lunes, 1 de octubre de 2012
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